• La selection masculine


    Claude Onesta a révélé le 20 juillet la liste des quatorze joueurs de l'équipe de France masculine sélectionnés pour les Jeux Olympiques. Le nom du remplaçant devrait être comuniqué lundi.

    Gardiens de buts: Daouda Karaboué (Montpellier), Thierry Omeyer (Kiel)

    Ailiers: Olivier Girault (Paris), Luc Abalo (Ivry), Michaël Guigou (Montpellier)

    Pivots: Bertrand Gille (Hambourg), Christophe Kempé (Toulouse), Didier Dinart (Ciudad Real)

    Arrières: Jérôme Fernandez (Barcelone), Cédric Burdet (Montpellier), Guillaume Gille (Hambourg), Daniel Narcisse (Chambéry), Nikola Karabatic (Kiel), Joël Abati (Montpellier)


     

    La selection féminine


     

    Olivier Krumbholz, a dévoilé le 17 juillet  sa liste des quatorzes joueuses qui participeront aux Jeux Olympiques de Pékin.

    Gardiennes de but : Valérie Nicolas (Ikast), Amandine Leynaud (Metz)

    Arrières : Mariama Signaté (Fleury), Sophie Herbrecht (Issy), Camille Ayglon (Nîmes), Alexandra Lacrabère (Bègles)

    Demi-centre : Christine Vanparys (Metz)

    Pivots : Isabelle Wendling (Metz), Véronique Pecqueux-Rolland (Dijon), Nina Kanto (Metz)

    Ailières : Paule Baudouin (Issy), Raphaëlle Tervel (Bera Bera), Stéphanie Cano (Bègles), Maakan Tounkara (Le Havre)


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  • Bartole s'incline à Stanford

     


     

    Marion Bartoli devra encore patienter pour soulever son premier trophée cette saison. La Tricolore a été battue en finale du tournoi par Aleksandra Wozniak (7-5, 6-3). Alors qu'elles étaient toutes les deux peu à l'aise sur leur service lors du premier set, la Canadienne a réussi un break de plus (3) que Bartoli. Plus à l'aise sur ses enchaînements lors du deuxième set, Wozniak n'a jamais été inquiétée sur sa mise en jeu et s'est contenté de prendre une fois celle de son adversaire.


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  • Hamilton vainqueur, ce n'est pas une surprise. Piquet Jr deuxième, c'en est une. (Reuters)

    Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) a écrasé le week-end de son empreinte avec la pole position et la victoire. L'entrée de la voiture de sécurité au 35e tour a à peine fait trembler l'Anglais, désormais seul leader du championnat. Nelson Piquet Jr a offert à Renault une deuxième place miraculeuse, devant la Ferrari de Felipe Massa. Kimi Räikkönen n'a pas existé. 
    Hamilton vainqueur, ce n'est pas une surprise. Piquet Jr deuxième, c'en est une. (Reuters)

    Massa incapable de repasser Piquet Jr

    Quatre points sont parfois très relatifs. Cette avance possédée par Lewis Hamilton, de nouveau seul leader du Championnat, sur Felipe Massa ne reflète pas l'avantage pris par l'Anglais sur le reste de la meute. Il faut clairement parler d'un ascendant pris par le leader de McLaren-Mercedes, même si depuis l'ultra domination de Michael Schumacher dans la première partie de la décennie, aucun pilote, ni aucune écurie, n'a vraiment réussi à maintenir une classe d'écart sur les moyen et long termes. Mais sous les yeux de "Schumi" justement, il y avait quelque chose d'implacable dans l'avancée d'un pilote encore connu des seuls spécialistes de la chose motorisée deux ans auparavant vers un premier titre de champion du monde. Une histoire qui s'écrit au présent. «On a été très fort ce week-end, après les essais privés de la semaine dernière», s'est réjoui Hamilton, qui avait signé le meilleur temps lors de chacune des deux journées d'essais privés organisés sur le circuit d'Hockenheim (déserté par les F1 en 2007) après le GP d'Angleterre. «Si ont peut maintenir ce momentum, on peut aller loin», a-t-il ajouté.

    Le choix de McLaren de lui confier la voiture la plus légère du plateau en début de Grand Prix, et donc la première à ravitailler, était «la bonne stratégie» sur une piste rapide (malgré les modifications apportées à son tracé au fil des années), où la différence entre meilleurs temps à vide et à plein est l'une des plus faibles de la saison. En poussant sa MP4/23 au maximum durant les dix-huit premiers tours, Hamilton a vite pu se délester de la menace Massa. Il se dirigeait presque tranquillement vers sa deuxième victoire de l'année, sa quatrième cette saison, la huitième de sa carrière. Oui mais... «J'aurais préféré une après-midi confortable, pas une comme ça». Au 35e tour, Timo Glock, victime d'une rupture de suspension, allait s'écraser contre le mur des stands, sans gravité certes, mais qui obligeait la direction de course à faire rentrer la voiture de sécurité. Tout le montre rentrait ravitailler, sauf Hamilton justement, qui aurait pu payer cher cette décision. Heureusement, la concurrence ne se débrouillait pas mieux avec ce deus ex machina, notamment Ferrari, qui n'a pas soulevé l'hypothèque née de sa mauvaise gestion des conditions météo à Silverstone.

    La concurrence, toute la concurrence ? Pas tout à fait. C'est à ce moment qu'un magicien faisait sortir la Renault de Nelson Piquet Jr du chapeau. Mal classé avec l'idée de n'effectuer qu'un seul arrêt, le débutant de Renault passait du fond du classement à la deuxième place d'un coup d'un seul, de manière inexplicable. Il s'est même posé l'idée que forcé à ravitailler après tout le monde, Hamilton ne pourrait pas reprendre son bien. Mais la McLaren était d'un autre acier et reprenait le commandement au 59e des 67 tours pour ne plus le lâcher. Le plus étonnant est en fait que Massa, deuxième durant les deux tiers de la course, n'ait jamais réussi à reprendre cette position. La faute à un choix de conserver des pneus tendres pour la fin de course, où rien n'aurait normalement dû changer, qui s'est révélé catastrophique. «Je n'avais plus la voiture pour me battre», a concédé le Brésilien, qui laisse deux points dans la bataille au grand bénéfice de son compatriote Piquet Jr, qui offre à Renault son premier podium de la saison. Et plonge la Scuderia dans des tréfonds de perplexité, sachant que Kimi Räikkönen n'a jamais été dans le coup, sixième des qualifications et de la course. Une véritable descente aux enfers pour le Finlandais, même devancé par la McLaren-Mercedes de son compatriote Heikki Kovalainen, une hérésie il y a encore peu.

     

    LE CLASSEMENT PILOTE :

     

    Pos   Total
    1 L.Hamilton 10 4 0 6 8 10 0 0 10 10 58
    2 F.Massa 0 0 10 8 10 6 4 10 0 6 54
    3 K.Räikkönen 1 10 8 10 6 0 0 8 5 3 51
    4 R.Kubica 0 8 6 5 5 8 10 4 0 2 48
    5 N.Heidfeld 8 3 5 0 4 0 8 0 8 5 41
    6 H.Kovalainen 4 6 4 0 0 1 0 5 4 4 28
    7 J.Trulli 0 5 3 1 0 0 3 6 2 0 20
    8 M.Webber 0 2 2 4 2 5 0 3 0 0 18
    9 F.Alonso 5 1 0 0 3 0 0 1 3 0 13
    10 R.Barrichello 0 0 0 0 0 3 2 0 6 0 11
    11 N.Piquet 0 0 0 0 0 0 0 2 0 8 10
    12 N.Rosberg 6 0 1 0 1 0 0 0 0 0 8
    12 K.Nakajima 3 0 0 2 0 2 0 0 1 0 8
    14 S.Vettel 0 0 0 0 0 4 1 0 0 1 6
    14 D.Coulthard 0 0 0 0 0 0 6 0 0 0 6
    16 T.Glock 0 0 0 0 0 0 5 0 0 0 5
    17 J.Button 0 0 0 3 0 0 0 0 0 0 3
    18 S.Bourdais 2 0 0 0 0 0 0 0 0 0 2
    19 A.Sutil 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
    19 G.Fisichella 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
    19 A.Davidson 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
    19 T.Sato 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0

    LE CLASSEMENT CONSTRUCTEUR :

     

    Pos   Total
    1 Ferrari 1 10 18 18 16 6 4 18 5 9 105
    2 BMW 8 11 11 5 9 8 18 4 8 7 89
    3 McLaren 14 10 4 6 8 11 0 5 14 14 86
    4 Toyota 0 5 3 1 0 0 8 6 2 0 25
    5 Red Bull 0 2 2 4 2 5 6 3 0 0 24
    6 Renault 5 1 0 0 3 0 0 3 3 8 23
    7 Williams 9 0 1 2 1 2 0 0 1 0 16
    8 Honda 0 0 0 3 0 3 2 0 6 0 14
    9 Toro Rosso 2 0 0 0 0 4 1 0 0 1 8
    10 Force India 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
    10 Super Aguri 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0

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